Où va ce monde ?

Au royaume de la complexité, des antagonismes, des blessures héritées, portés par tant de voix qui hurlent indistinctement dans la caisse de résonance de réseaux omnipotents, on entend tout, on n’entend plus rien, on se prend à avoir le vertige. Vertige de la mort ? … On préfère le Vertige De L’amour (voir plus bas).

« It’s embarrassing that after 45 years of research and study, the best advice I can give to people is to be a little kinder to each other » Aldous Huxley

LE COUP DE COEUR : L’auto promo n’est jamais un exercice facile. Alors on va la jouer low profile. Voici le nouveau titre de LARRAT, qui résonne et raisonne fortement avec l’actualité. Dire à Dieu… Bonne écoute. N’hésitez pas à commenter, et à liker si votre coeur est pour. Evidement produit par @Tangozoulou.

No comment.

LA DECOUVERTE : Elle nous envoie en direct son titre lancinant « Amour d’été« . C’est dans le jus d’aujourd’hui. Elisa Marra. La vidéo contribue à augmenter le niveau de satisfaction. Il y a un indice important à découvrir. Apparement, c’est une fan des année 70. Vous voyez pourquoi ?

1974 ?

LA STAR MONDIALE : Quand on est une méga-star, on passe en coup de vent à la salle de sport, on invite quelques potes pour faire un choré rapide sur une production somme toute assez banale, et on fait des dizaines de millions de vues en quelques heures. C’est la mécanique actuelle du music business qui lisse et moyenne tout, souvent vers le bas. Dua Lipa – Houdini.

C’est comme ça.

LE LIVE QUI TUE : Ils la jouent dans les règles. Un super spot, des concerts pour une vraie communication avec leur fans, de la bonne musique, de la transpiration et de la guitare qui solo. Manchester Orchestra – The Way.

Back to real stuff.

LE VERTIGE : Voilà. Vertige De L’amour – Alain Bashung. Tout est dit.

Éternel.

LA BELLE REPRISE : Qui ne voudrait pas être « un homme heureux » ? On y a tous pensé. On se donne du mal. Calogero reprend cette magnifique chanson de William Sheller. Touché.

Ça prend du temps…

LA PEPITE NOSTALGIQUE : Dans ces temps particulièrement guerriers, c’est un bonheur de voir Henri Salvador nous annoncer avec sa nonchalance et son optimisme légendaires « Le lion est mort ce soir« . C’était en 1962. Une seule question : Qui est le lion ?

On sent qu’il s’amuse vraiment.