Faits de Société, les artistes sont le reflet des tourments et des joies de l’époque. Souvent précurseurs, ils donnent le chemin dans leur réflexion intuitive. Cette semaine, ils nous parlent de leurs doutes . Surtout ceux qui ne sont encore qu’au début… La fraîcheur des grands questionnements.
Ils se marrent bien. Bigflo @ Oli font une blague à Julie Doré et l’entrainent dans un clip décalé. Un façon bien jeune de prendre un “Coup de vieux“. Toujours belle créativité. On est avec eux.
Elle porte bien son nom. Aloïse Sauvage. Derrière ce titre générique “Love“, elle cache un texte plus émouvant, qui nous dit “Je veux qu’on s’abandonne”. On aime son flow et sa parole sans filtre.
En exclu ! Le nouveau titre de Maria Carey. Comme au bon vieux temps. Pas de bouleversement, mais le son est là. On s’y croirait. Il y a une fois… The Roof.
Rengaine optimiste et décalée à la gloire de nos ados qui poussent trop vite !! Drôle mais tellement vrai. “Si tu travailles bien quand tu seras grand…”. On souhaite tout le bonheur musical à LE CHA, qui nous ont fait confiance en nous envoyant en directement leu nouveau titre “A l’école“.
Malpolis. Ils ont opté pour l’auto-tune. Le son de l’espace ?? Une certaine originalité. Kalash & Damso vont cartonner, comme d’hab.
On a tous nos “PETITES ERRANCES“, des moments de défaillance. C’est un constat. Pas de solution évoquée. KARIN CLERCQ regarde juste notre vie en face. C’est juste comme ça. Crument. Cruellement ?
On aime bien le son de Warhaus. Ils auraient pu muscler un peu le refrain, mais on se laisse séduire par ces inspirations jazz revisitées. Il nous offre Desire.
Joli petit moment acoustique, guitare voix. On accueille JoJo qui nous offre Spiral SZN en Live.
Fumeurs ? Que vous ayez un jour enterré votre paquet au fond du jardin, à la suite d’un cérémonial superstitieux, ou toujours dans votre poche à portée de main, vous comprendrez ce constat désabusé tinté de joie amère mais profonde. Allez, “Demain j’arrête“. Lulo Bocher.
Presque piano voix à la gloire des “Maman Solo“. Elles sont une armée souvent silencieuse qui n’a pas besoin de mobilisation Poutinienne. Elles s’enrôlent spontanément pour ce bonheur tellement lourd de conséquences. Pamela Scyne.